Extrait de livre que j'ai écrit

Chapitre 2 : Apparition

Je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait. Pleurer pour un vulgaire papillon ne me ressemblait pas. Je me remémorai la scène. Le papillon s'écrasant sur le sol, ses dernières gesticulations, sa mort. Des larmes coulèrent à nouveau de mes yeux et je repensai au désespoir qui m'avait envahi au moment où le papillon est mort. Pourquoi cette tristesse était si profonde ? J'avais eu la sensation que la souffrance de l'insecte m'avait atteint. Je respirai douloureusement, séchai mes larmes et me dirigeai vers la salle de cours, m'attendant à ce que la honte d'avoir fondue en larmes pour un papillon me submerge. En entrant, je gardai les yeux fixés sur mes cahiers et ignorai le monde extérieur, presque en transe. À la fin du cours, je m'enfuis directement vers mon coin de solitude, la salle d'étude. Je refoulai mes larmes et m'asseyai à ma place habituelle.
Soudain, une lumière aveuglante apparut et je disparus de la salle d'étude. Emportée dans un tourbillon enivrant, je ne pensai plus à rien et laissai cet âbime m'emporter loin de ce monde sans pitié qu'est celui des humains.
Lorsque je me réveillai, je sentis la douceur d'un lit. N'ayant pas la force d'ouvrir les yeux, je me rendormis et plongeai dans le monde fabuleux des songes. Malheureusement, je me réveillai un peu plus tard. J'ouvris les yeux et découvris un garçon apparement de mon âge penché au-dessus de moi. Je me levai d'un bond mais retombai aussitôt sur le lit, exténuée. Le garçon -qui était tombé lorsque j'avais tenté de me lever- se releva et m'intima de rester tranquille, car j'étais encore trop faible pour me lever. Il me demanda mon nom et je répondis que je me nommais Aruka et je lui demandai aussi le sien. Il s'appellait Tadase. Il me demanda de me reposer et he sombrai dans l'inconscience. Son visage poupin se fixa dans mes pensées. Ses magnifiques yeux bleus m'envôutaient et sa chevelure dorée m'hypnotisait. Le lendemain, je m'éveillais, reposée, et réussi à me lever. Je ne savais ozs du tout où aller, et Tadase n'était pas là. Je vis un miroir et poussai un cri en me voyant. Mon teint habituellement rose était d'une pâleur mortelle, des cernes s'étalaient sous les deux âbisses qui me servaient d'yeux. Je pris ma brosse dans mon sac posé contre le lit et me recoiffai. On frappa à la porte et je rangeai tout en disant d'entrer. Comme je m'y attendait, c'était Tadase. Je me senti à peu près présentable et le saluai. Je lui demandai où se trouvai la salle de bain et m'y précipitai une fois le chemin indiqué. Je trouvai bizarrement mes affaires mais je m'en réjouis. Je me lavai les dents, prenai une douche rapide et me changeai. Je ne m'attardai pas sur ke décor de la pièce et rejoignit Tadase. Nous allâmes manger en silence puis nous nous séparâmes. En allant dans ma chambre, je me posai énormément de questions mais n'eus pas le temps de trouver des réponses. Une femme en noir apparut et m'emmena dans un trou noir.

Chapitre 2 : Apparition

Je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait. Pleurer pour un vulgaire papillon ne me ressemblait pas. Je me remémorai la scène. Le papillon s'écrasant sur le sol, ses dernières gesticulations, sa mort. Des larmes coulèrent à nouveau de mes yeux et je repensai au désespoir qui m'avait envahi au moment où le papillon est mort. Pourquoi cette tristesse était si profonde ? J'avais eu la sensation que la souffrance de l'insecte m'avait atteint. Je respirai douloureusement, séchai mes larmes et me dirigeai vers la salle de cours, m'attendant à ce que la honte d'avoir fondue en larmes pour un papillon me submerge. En entrant, je gardai les yeux fixés sur mes cahiers et ignorai le monde extérieur, presque en transe. À la fin du cours, je m'enfuis directement vers mon coin de solitude, la salle d'étude. Je refoulai mes larmes et m'asseyai à ma place habituelle.
Soudain, une lumière aveuglante apparut et je disparus de la salle d'étude. Emportée dans un tourbillon enivrant, je ne pensai plus à rien et laissai cet âbime m'emporter loin de ce monde sans pitié qu'est celui des humains.
Lorsque je me réveillai, je sentis la douceur d'un lit. N'ayant pas la force d'ouvrir les yeux, je me rendormis et plongeai dans le monde fabuleux des songes. Malheureusement, je me réveillai un peu plus tard. J'ouvris les yeux et découvris un garçon apparement de mon âge penché au-dessus de moi. Je me levai d'un bond mais retombai aussitôt sur le lit, exténuée. Le garçon -qui était tombé lorsque j'avais tenté de me lever- se releva et m'intima de rester tranquille, car j'étais encore trop faible pour me lever. Il me demanda mon nom et je répondis que je me nommais Aruka et je lui demandai aussi le sien. Il s'appellait Tadase. Il me demanda de me reposer et he sombrai dans l'inconscience. Son visage poupin se fixa dans mes pensées. Ses magnifiques yeux bleus m'envôutaient et sa chevelure dorée m'hypnotisait. Le lendemain, je m'éveillais, reposée, et réussi à me lever. Je ne savais ozs du tout où aller, et Tadase n'était pas là. Je vis un miroir et poussai un cri en me voyant. Mon teint habituellement rose était d'une pâleur mortelle, des cernes s'étalaient sous les deux âbisses qui me servaient d'yeux. Je pris ma brosse dans mon sac posé contre le lit et me recoiffai. On frappa à la porte et je rangeai tout en disant d'entrer. Comme je m'y attendait, c'était Tadase. Je me senti à peu près présentable et le saluai. Je lui demandai où se trouvai la salle de bain et m'y précipitai une fois le chemin indiqué. Je trouvai bizarrement mes affaires mais je m'en réjouis. Je me lavai les dents, prenai une douche rapide et me changeai. Je ne m'attardai pas sur ke décor de la pièce et rejoignit Tadase. Nous allâmes manger en silence puis nous nous séparâmes. En allant dans ma chambre, je me posai énormément de questions mais n'eus pas le temps de trouver des réponses. Une femme en noir apparut et m'emmena dans un trou noir.