Prologue :
En l'an 1360, les guerres malmenaient ce bas-monde ; le sang, la peur, la destruction, l'angoisse, les armes, le feu...tout ça les habitants connaissaient. Que ce soit dans les bourgs, les villages ou dans des champs entourant les seigneuries, la guerre s'emparait de tout.
Robin un jeune garçon de 10 ans, habitant dans la campagne avec sa famille, avait la chance, lui, de pouvoir s'opposer à toutes ces folies. Il était grand, maigre et fort. Ses courts cheveux brun et ses yeux bleu montraient sa grasse et sa puissance. Tous les jours, il allait travailler dans sa petite ferme avec son père. Lui était grand et fort, ses courts cheveux noir et ses yeux brun montraient dignement sa puissance. Ils avaient la belle vie comparait aux paysans des seigneuries, qui eux avaient à peine de quoi se nourrir et étaient constamment en danger de mort.
Ce jeune paysan avait un père, une mère et deux petites sœurs de trois et six ans, que pouvait-il espérait de plus ? Personne n'était au courant qu'existait une si petite ferme aussi loin de toutes civilisations. Du coups, ils ne grainaient rien. Il a toujours vécu de la façon suivante : travaille le matin, déjeuner à midi, travaille l'après-midi, repas le soir et va au lit au coucher du soleil... Ça lui convenait du moment qu'il pouvait rester avec sa famille.
Bien sûr, il avait quand même deux ou trois petits moments pour se divertir, pendant ces cours instants, il n’hésitait pas un instant et allait de ce pas faire du cheval dans ces grands espaces qui entouraient sa petite ferme. Le sien s'appelait Tenebris, on l'appelait comme ça à cause de son pelage sombre qui faisait tout de suite penser aux ténèbres. C'était un magnifique cheval, il avait le sang chaud. Quoiqu'il arrivait, ce cheval irai sauver la vie de son maître sans aucune hésitation, c'était vraiment le cheval que tout le monde voudrais avoir ! Il parcourait toujours plusieurs kilomètres quand il en avait le temps.
Dans la cuisine, à côté de la table, il y avait une immense bibliothèque, avec plein de livres transmis de générations en générations, mais lui ne savait pas lire ainsi que ses parents... Mais ils connaissaient quand même quelques histoires, dont celle du fameux « Robin des bois » et c'est d'ailleurs de cette histoire que lui vient son nom. Ces parents lui avaient expliqué que c'était un jeune garçon qui volait les riches pour donner aux pauvres, depuis que ces parents lui avaient raconté cette histoire Robin était fier de son nom et espérait faire pareil que lui, mais il préférait ne pas trop y songer, ce n'était qu'une légende et il ne préférait pas prendre le risque de vivre une vie de fugitif.
Sachant que le village le plus proche était à plus d'une cinquantaine de kilomètres, Robin et les siens n'y allaient que très rarement et laissaient même ce jeune garçon y aller seul sur son cheval pour ramener quelques provisions qu'ils ne pouvaient fabriquer à la ferme. Le chemin était plutôt sombre, long et étroit à certains endroits, ce qui n'était pas très amusant à cheval !
A cause de la distance pour aller au village, ils ne pouvaient que très rarement aller prier à l'église. C'était leur plus gros problème. Ils se contentaient donc de le faire chez eux tous les jours sans exception.
Robin adorait s'occuper de ses deux petites sœurs, Maria et Gabrielle. La plus grande, Gabrielle, avait comme son frère les cheveux brun foncé, ces yeux étaient eux d'un vert très vif. Elle était grande pour son âge et on pouvait remarquer tout de suite qu'elle participait aussi au travail dans la ferme, tout le monde la surnommait Gabi .
Quand à Maria, elle était blonde et ses yeux bleu brillant dans l'obscurité lui donnaient un air de petite princesse. C'était bien la seule personne de la famille à s'amuser à regarder les illustrations des livres de la bibliothèque ! Ce qui n'avait rien d'étonnant sachant que c'était des livres pour les petits. L’aînée regardait de temps en temps avec elle, mais ne comprenait pas tout le temps... Il se demandait souvent pourquoi ses parents ne vendaient pas tous ces bouquins tout crasseux. C'était tellement rare, pourquoi se privait de cet argent ? Il posais plusieurs fois cette question à ces parents, mais ils ne voulaient jamais y répondre. Si ils les vendaient, ils seraient riche, mais là, ils se rapprochent plus de la pauvreté que de la richesse...
Si on lui aurait dit un jour de quelle manière il trouverait la réponse, il ne l'aurai jamais cru...
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