[FIC] Le journal des âmes perdue

Je tiens à préciser que cet fiction n'a aucun rapport avec la fiction ni les mangas , quel qu'il soit , il s'agit d'une fiction basée sur des faits qui pourrai être dit , hypothétiquement réel , c'est à dire qui pourrait bien exister . Je tiens aussi à préciser que certains passages peuvent choquer certains d'entre vous , des scènes de violence prendront beaucoup de place dans cet histoire , et néanmoins , tout ceci est obligatoire vu le contexte . Je déconseille donc cet fic au plus jeune d’entre nous et au âmes sensible ...


Jour 1 : Une vengeance sans doute éphémère ...

La pluie tombe sur le rebord en béton , reflétant ainsi les couleurs noirci des petite muraille protégeant la porte menant à chez moi . Une route sinueuse descendait à quelque pas de chez moi , l'eau s'écoulait , tel un torrent , au-bas de cet route . J' était dehors , assis sur un rebord de fenêtre , cigarette à la main et pensif , tel la statue du penseur , je me mettais à réfléchir à des choses impossible dont moi-même je ne connaissais pas l'existence . Je regarde autour de moi , et aperçois alors , une voiture noire , montant la petite route longeant le champ derrière ma maison . Celle-ci s'arrête près d'un petit café non-loin de ce champs . Je regarde sans trop m'en soucier , encore en train de fumer ma cigarette . Celle-ci en bouche , je commence a marcher tranquillement , d'un pas lourd et fatigué , soulevant encore mon manteau de laine . Levant ma capuche , je m'aperçois de la présence d'un homme , tout habillez de noire , me regardant du coin de la rue . Je décide de lui tourner le dos et rebroussa rapidement chemin , comme pour éviter une quelconque rencontre . Je laissa alors tomber ma cigarette , l'écrase rapidement avec mes chaussures de cuir noir et m'assois sur un petit rebord de pierre , près d'un arbre . Je réfléchis longuement , tout en regardant le ciel d'un noir gris et lourd . La pluie tombant alors sur les formes de mon visage . Quelque minute plus tard , je me décide alors à bouger pour me rendre au café où s'était arrêtez la voiture . En cinq minute de marche , je n'aurais sûrement pas le temps de m’essouffler . Je marche alors rapidement , reprenant encore une cigarette , à laquelle j’étaie vraiment accro . Je regarde alors l'enseigne du magasin , et m'aperçois alors que la pluie l'avait quelque peu usée . Je rentre donc , montant les petit escaliers de bois , les marches était glissante , je me tenais à la petite barre qui était sur le mur de gauche . J'ouvre alors la porte , d'une main ferme , et regarde alors dans la direction de la voiture derrière moi , puis refermant la porte , je regarde alors à l'intérieure .

J'entendis alors dans un fracas tonitruant , la voiture qui s'en allait à toute vitesse , elle fit un dérapage à l’embranchement sud du petit village où j'habitais .
Un homme m'interpella alors quand j'allais m'assoir sur un petit tabouret de bois près du comptoir , me disant que les trois hommes qui était rentré avait parler d'un jeune homme du nom de Denvirk . Je connaissais bien un Denvirk , un jeune homme très érudit mais assez timide , surtout avec la gent féminine , mais il été décédé il y a de cela trois ans . L'homme qui m'avait donc raconter cet histoire était un habitué du café , il était très bavard . Je m'assois donc au comptoir, et demande à ce qu'on me serve un café . Quelque seconde plus tard , on me servis un café sucré et quelques petit gâteau sec , que je mangeais rapidement . Je m’aperçus alors que la femme qui m'avais servis le café était toute tremblante , avait les mains moites et les yeux rouges . Je me doutais forcement de quelque choses , et décida de mener ma petite enquête sur ce qui c'est passé . La voiture était déjà pour elle , quelque chose d'étrange . Une voiture noire , la marque de la voiture non-apparente laissait déjà perplexe . Je décide alors d'engager une conversation avec ladite femme

<< Qu ... Que c'est t-il passé
- Pas le droit ... dire
- Dite le moi , personne d'autre que moi ne le saura ...
- Ils nous entendent , ils ont des yeux partout ...
- De quoi vous parlez ? >>

J'étais curieux , je ne savais pas quoi pensé , mais je trouvai vraiment cela bizarre . Je regardais alors autour de moi , ayant l'espoir de trouver quelqu’un qui pourra me dire ce qui se sera passé ici , et c'est ainsi que je tombais sur mon voisin , lui aussi habitué des café et des bars . Il ne me dit rien , comme si je n'était qu'un intrus à qui il ne pouvait rien dire , je ressort alors rapidement du café , sentant les yeux globuleux des ivrognes sur moi , je reprend alors la route pour revenir chez moi , espérant alors trouvez quelque chose en chemin , rendu sur la place où j' était il y a peut être une heure et demi , l'homme en noir me regardait toujours , je décide alors de m'approcher d'un pas lourd vers lui , sans trop accentuer ma peur , je le regarde alors a quelque mètres , celui-ci ne clignait pas des yeux , ils étaient grand ouvert , cet homme était d'une pâleur extrême , je sentais de ces quelques mètres , que cet homme ne respirait plus . Je recule alors , et commence à courir rapidement , la peur s'empare de moi , je cours me réfugier dans ma maison , mon refuge . Mais je n'aurais sans doute pas dû . Je me précipite alors dans ma chambre et m'assois sur mon lit , prend mon portable et essaye d’appeler quelqu'un au hasard , personne ne répond ... Que se passait t-il ? Je monte alors à l’étage , pour me rendre dans un petit salon , où je serais sûrement plus tranquille , je laisse la porte ouverte et m'assois dans un fauteuil . Soudain , la porte se ferma brusquement et je m’aperçus alors que l'homme sans doute mort de toute à l'heure était derrière , encore en train de me regarder , les yeux grand ouvert , un mal de tête me pris alors , un mal extrême qui me faisait perdre tous mes moyens , Mes yeux commencèrent à se fermer , si brusquement , et sans même savoir pourquoi , je commençais à tituber , comme si j’étaie sous l'emprise de l'alcool . Je tombas alors brusquement sur le plancher , les yeux révulsés , et m’évanouis brusquement ...

Je vais expliquer ceci assez clairement : Quand tu voit quelqu'un qui est mort où qui pourrait l'être , c'est prouvé , la peur prend TOUJOURS le dessus , c'est un réfléxe neuronal , on y peut rien , la fuite fait partie d'une des caractéristique de la peur , c'est on peut plus simple :)